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Danger « revendeurs de téléphones portables »

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Le professeur Burkhard Ernst, BGO du commerce automobile, ÖAMTC et ARBÖ prônent conjointement la réglementation du commerce automobile - à l'exception des pièces de rechange et des accessoires. Cela est nécessaire en raison de la proximité des activités de réparation et de service liées à la sécurité et des nombreuses inscriptions d'entreprises fictives ces dernières années. «La réglementation est particulièrement nécessaire car la vie et l'intégrité physique dans le commerce automobile peuvent dépendre de la qualité des produits, des services et des conseils», explique Ernst. «Ces dernières années, nous avons constaté que de plus en plus de soi-disant «revendeurs de téléphones portables» se tournent vers le commerce automobile, qui n'ont aucune qualification pour le commerce automobile.»

Prof. Burkhard Ernst, BGO des Fahrzeughandels, ÖAMTC und ARBÖ sprechen sich gemeinsam für die Reglementierung des Kfz-Handels – ausgenommen Ersatzteile und Zubehör – aus. Dies sei aufgrund der Nähe zu sicherheitsrelevanten Reparatur- und Servicetätigkeiten und wegen zahlreicher Scheingewerbeanmeldungen in den vergangenen Jahren erforderlich. „Die Reglementierung ist vor allem notwendig, da im Kfz-Handel Leib und Leben von der Produkt-, Service- und Beratungsqualität abhängen können“, so Ernst. „Wir konnten in den letzten Jahren beobachten, dass immer mehr so genannte ‚Handy-Händler‘ in den Autohandel strömen, die über keinerlei Voraussetzungen für den Autohandel verfügen“.
Le professeur Burkhard Ernst, BGO du commerce automobile, ÖAMTC et ARBÖ prônent conjointement la réglementation du commerce automobile - à l'exception des pièces de rechange et des accessoires. Cela est nécessaire en raison de la proximité des activités de réparation et de service liées à la sécurité et des nombreuses inscriptions d'entreprises fictives ces dernières années. «La réglementation est particulièrement nécessaire car la vie et l'intégrité physique dans le commerce automobile peuvent dépendre de la qualité des produits, des services et des conseils», explique Ernst. «Ces dernières années, nous avons constaté que de plus en plus de soi-disant «revendeurs de téléphones portables» se tournent vers le commerce automobile, qui n'ont aucune qualification pour le commerce automobile.»

Le professeur Burkhard Ernst, BGO du commerce automobile, ÖAMTC et ARBÖ prônent conjointement la réglementation du commerce automobile - à l'exception des pièces de rechange et des accessoires. Cela est nécessaire en raison de la proximité des activités de réparation et de service liées à la sécurité et des nombreuses inscriptions d'entreprises fictives ces dernières années. «La réglementation est particulièrement nécessaire car la vie et l'intégrité physique dans le commerce automobile peuvent dépendre de la qualité des produits, des services et des conseils», explique Ernst. «Ces dernières années, nous avons constaté que de plus en plus de soi-disant «revendeurs de téléphones portables» se tournent vers le commerce automobile, qui n'ont aucune qualification pour le commerce automobile.»

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