Lettre à Kurz : Shirak demande l'ouverture de tous les showrooms

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À partir du 14 avril 2020, les showrooms des concessionnaires automobiles seront également autorisés à rouvrir. Toutefois, seulement si leur superficie est au maximum de 400 m2. Le porte-parole du commerce de détail, Josef Schirak, a donc écrit une lettre irritée, mais factuelle et bien fondée, au chancelier Sebastian Kurz.

Ab 14. April 2020 dürfen auch die Schauräume der Autohäuser wiedereröffnen. Allerdings nur, wenn ihre Fläche maximal 400 m2 beträgt. Einzelhandelssprecher Josef Schirak hat Bundeskanzler Sebastian Kurz deshalb einen wütenden, gleichwohl sachlichen und fundierten Brief geschrieben.
À partir du 14 avril 2020, les showrooms des concessionnaires automobiles seront également autorisés à rouvrir. Toutefois, seulement si leur superficie est au maximum de 400 m2. Le porte-parole du commerce de détail, Josef Schirak, a donc écrit une lettre irritée, mais factuelle et bien fondée, au chancelier Sebastian Kurz.

Lettre à Kurz : Shirak demande l'ouverture de tous les showrooms

Einzelhandelssprecher Josef Schirak

Lisez la lettre de Shirak au chancelier Kurz dans sa version originale :

Cher Monsieur le Chancelier fédéral,

Comme beaucoup de mes collègues du secteur du commerce automobile qui ont été concernés, j'ai moi aussi dû apprendre à la télévision les réglementations partiellement redéfinies du gouvernement en matière de réouverture des entreprises et, à mon grand désarroi, j'ai découvert que le commerce automobile, pour des raisons qui m'étaient totalement inexplicables, était inclus dans la liste des commerces autorisés à rester ouverts avec plus de 400 m2Il manque un espace de vente !  Ceci malgré le fait que les magasins sont beaucoup plus fréquentés par les consommateurs, comme les quincailleries, les marchés aux fleurs, etc. le garder ouvert est désormais possible ! Tout à fait à part les épiceries et pharmacies précédemment autorisées avec une fréquence de clientèle et un risque x fois supérieurs ! 

Grâce à ses grands locaux, le commerce automobile serait tout à fait en mesure de maintenir son activité ouverte - bien entendu dans le respect de toutes les mesures de précaution et réglementations en vigueur - dans la mesure du possible, sans risque d'infection de ses collaborateurs et de ses clients. Cependant, c’est certainement plus sûr que ce n’est le cas de presque toutes les autres entreprises de cette taille autorisées à rester ouvertes ! Malheureusement, la situation peut désormais être considérée comme préoccupante pour nombre de nos entreprises membres en termes de liquidités, d'autant plus que les besoins en capitaux dans le secteur automobile sont extrêmement élevés. Actuellement, ces liquidités sont principalement grevées par les voitures neuves et d'occasion qui ont déjà été vendues mais pas encore reprises par l'acheteur et qui ne sont donc pas payées, ainsi que par l'énorme pression sur les stocks de nombreuses voitures neuves, de démonstration et d'occasion.

En raison de la fermeture de l’entreprise pour une période encore plus longue, il faudra également procéder à une dévaluation significative de l’ensemble des stocks. Je tiens à souligner que ces problèmes représentent des centaines de milliers d'euros, voire des millions d'euros dans de plus en plus de cas.

Une remarque particulière sur les 400 m2-Restriction : Les quincailleries, jardineries et jardineries sont exemptées de cette restriction - pas de problème - mais le commerce automobile ne l'est pas, pour des raisons totalement inexplicables ! Les 400 m2-La restriction entraîne également une inégalité de traitement flagrante ou une distorsion de la concurrence, ce qui pourrait éventuellement entraîner des répercussions juridiques. Je tiens à souligner qu'aucun client ou acheteur de voiture ne comprendrait un concessionnaire automobile à une distance allant jusqu'à 400 m.2Surface de vente pour pouvoir acheter/reprendre son véhicule beaucoup plus tôt que s'il l'achetait chez un concessionnaire plus grand avec plus de 400 m2achèterait / reprendrait.

Comment pourrait-on argumenter cela ?

Pour faire court : en raison du « danger de défaut de paiement » (danger d'insolvabilité pour de nombreux concessionnaires automobiles), il faudrait immédiatement étendre la disposition correspondante au « commerce de véhicules », ce qui n'aurait aucune incidence négative sur l'aspect santé. Cela serait possible dans des délais brefs et sans effort particulier et serait nécessaire de toute urgence.

Afin que la paix de Pâques dans l’industrie automobile et au-delà ne soit pas compromise.

Dans cet esprit, je vous souhaite JOYEUSES PÂQUES !

Merci beaucoup d'avoir mené à bien cette affaire dans l'intérêt du commerce automobile et meilleures salutations. 

Son KR Ing. Joseph SCHIRAK 

« Concessionnaire automobile en exercice dans sa 60e année de travail »

"Parties prenantes de WK – Org. Dans leur 53ème année de service"