Horaires de travail à la Formule 1
En collaboration avec la Federal Vehicle Technology Guild et le groupe d'intérêt pour la technologie et la peinture des véhicules (IFL), l'industrie automobile conçoit une série pour éviter les erreurs et les défauts pendant les heures de travail. Cette fois avec un cas issu de l'atelier pratique d'Alex Guillaume Ellinger.

Horaires de travail à la Formule 1
Je dois admettre que nous n'avons pas non plus tout rapporté dans le passé. C’est toujours une question de temps. Alex Guillaume Ellinger, directeur général d'Autopark à Vienne-Donaustadt, est honnête à propos d'IFL. Et il promet une amélioration. Il est bien conscient du problème : ce n'est que lorsque des erreurs sont signalées que des améliorations peuvent être apportées aux systèmes de calcul informatiques courants (Eurotax, Schwacke, DAT, Audatex). C'est précisément pour cette raison que le Groupe d'intérêt pour la technologie et la peinture des véhicules (IFL) a été fondé en 2007.
Certaines informations sont ridicules
Et les erreurs dans les horaires de travail ne sont que trop fréquentes. "Certaines informations fournies par les fabricants sont carrément ridicules", déclare Ellinger. Par exemple, il répare actuellement une Volvo. Et puis il faut aussi être agacé par de tels moments : Remplacement de la timonerie : quatre heures, mesure de l'essieu trois heures... Ce dernier est presque au niveau de la Formule 1, rit Ellinger. Son chef d'atelier estime l'effort requis pour l'alignement des roues avec tous les équipements à huit AW. Et le passage de roue prendrait facilement huit heures, soit au moins le double de la valeur estimée. «Il est logique d'attirer l'attention sur ce point», déclare Ellinger.