La distraction est un danger majeur dans la circulation

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Dans les statistiques d'accidents de 2019, l'inattention/distraction reste l'une des causes d'accidents les plus courantes sur la route autrichienne avec 31,4 pour cent.

In der Unfallstatistik 2019 zählte Unachtsamkeit/Ablenkung mit 31,4 Prozent weiterhin zu den häufigsten Unfallursachen im österreichischen Straßenverkehr.
Dans les statistiques d'accidents de 2019, l'inattention/distraction reste l'une des causes d'accidents les plus courantes sur la route autrichienne avec 31,4 pour cent.

La distraction est un danger majeur dans la circulation

En 2019, 139 personnes sont décédées dans des accidents parce qu'elles-mêmes ou l'autre partie étaient impliquées dans un trafic venant en sens inverse. Une étude de conduite actuelle menée par le club de mobilité, réalisée en collaboration avec l'ADAC au centre technologique de conduite ÖAMTC de Teesdorf auprès de 45 sujets de test, a examiné les effets possibles de diverses activités secondaires sur le comportement de conduite et la sécurité routière lors de la conduite de voitures, de vélos et de scooters électriques. Dans le cadre de l'étude, il a été prouvé que toutes les activités secondaires examinées, notamment : la manipulation d'objets, la consommation d'eau dans une bouteille, l'utilisation de smartphones et l'utilisation du système de navigation au volant, entraînent de graves perturbations dans la tâche de conduite, quel que soit le type de véhicule. "Lors des essais sur route, nous avons confié à nos sujets des tâches qui sont souvent réalisées dans la réalité. Nous avons pu montrer que les activités distrayantes conduisent à des erreurs de conduite massives, même si l'on est en forme et expérimenté au volant. Neuf conducteurs sur dix seraient entrés en collision avec un obstacle apparaissant soudainement et plus d'un tiers des sujets auraient traversé la ligne médiane au moins une fois, ce qui, dans une situation réelle, les amènerait à se retrouver dans la circulation venant en sens inverse pendant entre 3,5 et 4 secondes", explique le psychologue de la circulation de l'ÖAMTC. Marion Seidenberger. La conclusion de l'expert : "Chaque activité distrayante que nous avons examinée, aussi banale qu'elle puisse paraître, a eu des effets mesurables sur le comportement de conduite. Nos sujets de test se sont souvent estimés meilleurs qu'ils ne l'étaient réellement. Une mauvaise interprétation de ses propres performances peut conduire à des accidents dangereux."