5 questions à...

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Michael Schwaiger, directeur commercial de Santander Consumer Bank, explique ce qu'il pense des limitations de vitesse allemandes et pourquoi il a dû restituer la voiture de ses rêves. 

Michael Schwaiger, Chief Commercial Officer Santander Consumer Bank, erklärt, was er von deutschen Tempolimits hält und warum er sein Traumauto wieder hergeben musste. 
Michael Schwaiger, directeur commercial de Santander Consumer Bank, explique ce qu'il pense des limitations de vitesse allemandes et pourquoi il a dû restituer la voiture de ses rêves. 

5 questions à...

Quel type de voiture conduisez-vous à titre privé ?

Aucun pour le moment. J'avais un cabriolet Mini John Cooper Works, mais je l'ai vendu et je n'en ai pas encore acheté de nouveau. Ma femme - elle est aussi passionnée de voitures que moi - conduit une VW Beetle GTI de 220 ch, avec un aileron arrière et tous les accompagnements. C'était l'un des derniers avant son arrêt, alors nous avons encore frappé ! Je conduis actuellement un Ford Explorer comme voiture de société. Je change toujours de position pour ne donner la préférence à aucun client. 

Vous vivez en Autriche depuis douze ans maintenant. Quel est votre itinéraire préféré pour conduire ?

Il faut différencier. En matière d'optique, on en trouve partout en montagne. Peu importe la voiture que vous conduisez : vous profitez simplement de la région et des routes sinueuses. Mais en matière de vitesse, je n'aime aucun itinéraire ! Ce n'est pas ça qui conduit ici (rires). 

Donc, en tant qu'Allemand, vous n'êtes pas partisan de la limitation de vitesse politiquement discutée en Allemagne ?

Non, certainement pas. De toute façon, la plupart des gens ne conduisent qu'en 140 et vous ne devriez pas gâcher le plaisir des quelques personnes qui conduisent très vite. 

Achèteriez-vous une voiture en ligne ?

Non, certainement pas ! Pour moi, une voiture est une émotion : je veux la sentir, la toucher et aussi la sentir. 

Quelle est la voiture de vos rêves absolus ?

La Porsche 911. J’en avais même une en Allemagne. Mais aujourd’hui, on ne peut plus se le permettre, surtout en Autriche, où l’assurance à elle seule, taxes comprises, coûte 5 000 à 6 000 euros par an.